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Le fleuve: un moyen de transport, un moyen de vie. Toute jaillissait autour l’eau, des petites fleurs aux plus grandes civilisations. «Les bras du grand fleuve Niger» accueillent le Surabaya et ses passagers à Onitsha. Lorsque Fintan s’installe aux rives douces, il s’enracine comme une petite graine. Il observe le fleuve, si passif. Mais sa curiosité s’approfondit aussi vite que ses racines - Fintan doit explorer le fleuve. Il découvre les femmes et leur secret train-train quotidien. Il guette Oya, sa lessive, son bain. Dans un seul coup d’Å“il, Fintan voit générations sur générations. Il voit les femmes de Meroë, l’obsession de son père. Plus profondément, le fleuve fait la connexion avec le passé: «Le fleuve n’a jamais cessé de ccouler entre ces mêmes rives. Son eau est la même.» |